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Une vie 100% collaborative est-elle possible ?

Mardi 31 octobre, une table ronde sur l'économie collaborative se déroulera au Maif social club

Début septembre, l’équipe magazine de 20 Minutes lançait un défi à Aurélie Bacheley : faire du collaboratif son quotidien, et relater ses expériences dans cette rubrique. Aurélie est devenue bénévole dans une recyclerie sportive, a loué (presque) gratuitement un appartement et a volé avec un pilote amateur... Après avoir testé une vingtaine de services, elle ouvre le débat sur les enjeux et l’avenir de l’économie collaborative, aux côtés de 4 acteurs du domaine.

Tout un écosystème en question

  • Comment devenir acteur de ses consommations grâce à l’économie collaborative ?
  • Quels sont les freins pour les fondateurs des plateformes et quel avenir est réservé à l’économie du partage à laquelle on reproche souvent d’être un «fourre-tout»?

Pour aborder ces thématiques, 4 intervenants :

  • Barthélémy, cofondateur des Talents d’Alphonse, une plateforme de mise en relation de retraités passionnés et jeunes «curieux»;
  • Emeric de Waziers, créateur de Wingly, un Blablacar version aérienne;
  • Nicolas Chabanne, inventeur de La marque du consommateur
  • Grégoire Leclercq, président de la Fédération des auto-entrepreneurs (FEDae) et fondateur de l’Observatoire de l’ubérisation.

De quoi repartir plus éclairé sur vos usages alternatifs et digitaux au quotidien.

En pratique

  • 31 octobre à 09h
  • 37 rue de Turenne Paris 3ème
  • S'inscrire sur https://lieu.maifsocialclub.fr/programmation/une-vie-100-collaborative-est-elle-possible

 


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UBÉRISATION DU TRAVAIL CONFÉRENCE - DÉBAT

Ubérisation du travail

Participez à la conférence "Ubérisation du travail / entre précarisation, nouvelle consommation et innovation" par Grégoire Leclercq, proposée par la médiathèque de l'horloge, dans le cadre des RDV de midi 30.

Chaque jour des nouveaux acteurs émergent dans les domaines de l'éducation, de la coiffure, du droit, des transports, de la santé, des services... Demain l'Etat lui-même pourrait s'ubériser. Grégoire Leclercq, co-fondateur de l'Observatoire de l'ubérisation et président de la fédération des auto-entrepreneurs, apporte des réponses afin que l'ubérisation ne soit plus subie, mais réfléchie, décidée, inclusive, pour tous.

INFOS PRATIQUES

  • La médiathèque de l'horloge, 59 Rue de l'Abondance, 95800 Cergy
  • Le 19 octobre 2017 à 12h30, ouverture des portes à 12h 
  • Entrée libre
  • Apportez votre sandwich, nous vous offrons le café
  • Cet événement fait partie de Passerelle, vos rendez-vous culturels de la ville de Cergy

Les RDV de midi 30

Chaque mois les médiathèques vous donnent rendez-vous pour aborder un point de l'actualité économique géopolitique ou scientifique avec un spécialiste du domaine. 


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  • Date de Publication: 16/10/2017
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La médiathèque Marguerite Yourcenar a le plaisir de vous convier au jeudi de l’actualité

"De quoi l’UBERISATION est-elle le nom ?"

Jeudi 19 octobre à 19h, rencontre débat avec

  • Anne Rodier, journaliste au service économie du Monde et co-auteure de La ruée des licornes : start-up, une révolution mondiale
  • Pierre-Camille Hamana, créateur de la start-up Smartbnb
  • animée par Grégoire Leclercq, co-auteur de Uberisation, un ennemi qui vous veut du bien ? et co-fondateur de L'Observatoire de l'ubérisation

entrée libre dans la limite des places disponibles

Venir à nous

médiathèque Marguerite Yourcenar
41 rue d’Alleray
75015 PARIS

ligne 12 station Vaugirard

62, 88, 89, 95 arrêts Charles Vallin ou Alleray

59 rue Dutot, 133 rue de l’abbé Groult et Place Vallin


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Pièces jointes :

  • Date de Publication: 29/09/2017
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Depuis peu, les nouvelles technologies ne se contentent plus seulement d’accélérer notre vie ; elles la changent.

L’étude du Conseil d’État s’efforce d’analyser de manière globale les transformations du monde que révèlent les plateformes numériques. Après deux précédentes études, la première en 1998 intitulée Internet et les réseaux numériques et la deuxième sur Le numérique et les droits fondamentaux en 2004, le Conseil d’État a décidé de poursuivre sa réflexion sur l’évolution des politiques publiques du numérique, en s’attachant cette fois-ci à l’ébranlement des économies et des modèles sociaux traditionnels qui est en cours. 

Créer son entreprise individuelle pour commercialiser des produits ou des services jusqu'au bout du monde, mettre à disposition ses compétences de jardinier ou de bricoleur, dîner ou dormir « chez l'habitant », faire appel à un taxi ou à une voiture de tourisme avec chauffeur, louer un bateau, mettre en commun des compétences pour créer un service utile à tous, trouver un travail... Les plateformes numériques ne cessent de faire irruption dans la vie quotidienne.

Cette « ubérisation » de l'économie se traduit par la substitution progressive des plateformes aux intermédiaires de l'économie traditionnelle mais aussi, au-delà, aux figures instituées qui structurent nos sociétés (l'entreprise, le professeur, le chef d'entreprise, l’État...). Elle fait émerger de nouvelles formes d'organisation des échanges et des relations, économiques certes, mais aussi sociaux, culturels et sociétaux. Accompagner l' « ubérisation », ainsi que le suggère cette étude du Conseil d’État, c'est d'abord s'efforcer de comprendre ce phénomène et d'en anticiper les évolutions futures. Accompagner l' « ubérisation », surtout, c'est envisager des voies de rénovation du corpus juridique et des politiques publiques de la France.

Selon le Conseil d’État, il s'agit de permettre la conciliation de la liberté nécessaire à la réalisation personnelle de chacune et de chacun dans la société du numérique et la protection de tous, ainsi que des principes et des valeurs que nous avons en commun. Les vingt-et-une propositions auxquelles aboutit cette étude vont en ce sens. Puissent-elles contribuer à l'émergence, non seulement de réflexions, mais d'un mouvement, d'une dynamique fondatrice vers une réponse européenne et nationale aux bouleversements en cours et à venir.

L'Observatoire a été auditionné par le Conseil d'Etat à plusieurs reprises.

PREMIÈRE PARTIE – QUELQUE CHOSE EST EN TRAIN DE SE PASSER

1.1. La plateforme : figure de proue de l’« ubérisation »

- 1.1.1 L’émergence du capitalisme des plateformes

- 1.1.2 Un changement de paradigme économique et social

- 1.1.3 Essai de typologie d’un objet peu juridique aux contours incertains

1.2. Au coeur de la plateforme : les ressorts d’une nouvelle fondation

- 1.2.1 Le réseau : figure non géométrique d’une dynamique contestataire

- 1.2.2 La rencontre d’un modèle économique et d’aspirations sociales

1.3. Dans l’écosystème de la plateforme : les robots face aux feux du soleil

- 1.3.1 Algorithmes et intelligence artificielle : la loi du code

- 1.3.2 L’internet des objets, catalyseur de l’« ubérisation »

- 1.3.3 La blockchain, aboutissement du processus de désintermédiation ?

 DEUXIÈME PARTIE – DE LA RUPTURE ÉCONOMIQUE AUX BOULEVERSEMENTS JURIDIQUES

2.1. Une remise en cause des concepts du droit économique

- 2.1.1 Une économie nouvelle qui déstabilise les cadres de l’intervention économique

- 2.1.2 Une économie de la multitude qui morcelle les blocs juridiques de l’économie industrielle

- 2.1.3 Une économie globalisée qui repousse les frontières territoriales du droit

2.2. De nouveaux horizons pour le droit social et le droit du travail

- 2.2.1 Travail salarié ou travail indépendant : le nécessaire dépassement d’une dichotomie devenue trop radicale

- 2.2.2 L’émergence d’une « e-solidarité » collaborative, coopérative et universelle : alternative à l’essoufflement des formes traditionnelles de lien social

2.3. De nouvelles frontières pour l’état et les services publics

- 2.3.1 L’État-autorité au défi de l’« ubérisation »

- 2.3.2 La mort du bison ou l’État-service peau de chagrin

- 2.3.3 État-plateforme contre État-silo

TROISIÈME PARTIE – LES POUVOIRS PUBLICS, L’INNOVATION ET LE DROIT

3.1. Présenter un « paquet européen » Innovation technologique et droits fondamentaux pour libérer l’innovation et protéger l’individu

- 3.1.1 Une communication de la Commission européenne mettant en perspective les principes applicables avec les évolutions en cours

- 3.1.2 Un règlement de l’Union européenne affirmant la primauté de l’humain sur la machine

- 3.1.3 Une recommandation du Conseil de l’Union pour une meilleure solidarité européenne à l’ère du numérique

3.2. Favoriser, dans l’ordre juridique interne, le développement de l’économie des plateformes tout en veillant à l’équité des règles et à la protection des droits des salariés

- 3.2.1 Accompagner le développement de l’économie des plateformes

- 3.2.2. Mettre en place des règles équitables

- 3.2.3 Protéger les droits des travailleurs des plateformes

3.3. Tirer les conséquences des dynamiques sociétales de l’« ubérisation » sur l’organisation et le fonctionnement des pouvoirs publics

- 3.3.1 Adapter le périmètre des services publics

- 3.3.2 Favoriser le développement des services publics numériques

- 3.3.3 Adapter les processus d’élaboration des normes

Conclusion – Être ou ne pas être?

Liste des propositions

Annexes

Annexe 1 – Liste des personnes auditionnées

- 1. Auditions en France

- 2. Rencontres au sein des institutions de l’Union européenne (Bruxelles)

- 3. Rencontres à l’Organisation internationale du travail (Genève)

Annexe 2 – « Groupe de contact » de l’étude annuelle

Annexe 3 – « Comité d’orientation » de l’étude annuelle

Contributions

Requêtes aux législateurs

L’ubérisation, l’État et l’Europe

L’algorithme et les droits de l’Homme


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Les Rencontres de Liseur : Ubérisation du travail, précarisation, nouvelle consommation ou innovation salutaire ?

Pour ouvrir le cycle 2017-2018 des Rencontres de Liseur, La Médiathèque de Levallois accueillera, le samedi 23 septembre à 15h

  • Pierre de Lubersac (responsable de Ressources Humaines, enseignant en RH à l’ESCP Europe et à l’Université Paris-Dauphine)
  • Grégoire Leclercq (directeur de la Relation Client du groupe EBP informatique , co-fondateur de l’Observatoire de l’Ubérisation et président de la Fédération des auto-entrepreneurs), auteur de Ubérisation un ennemi qui vous veut du bien ? (Dunod 2016).

Une définition

Née d’un néologisme, l’ubérisation, déclinaison du nom de la société californienne de VTC (voiture de transport avec chauffeur) Uber, est sur toutes les lèvres, dans tous les articles de presse depuis quelques temps. Mais de quoi s’agit-il concrètement ? De quels changements sociétaux, économiques est-il question ? Comment les médias présentent-ils ce nouveau modèle ?

Pour défricher ce vaste sujet, arrêtons-nous tout d’abord sur la définition de l’ubérisation que propose Grégoire Leclercq :

UBERISATION (nf) : transformation et déstabilisation d’un secteur avec un nouveau modèle économique tirant parti des technologies et des indépendants.

Les « Ubérisateurs » suscitent de multiples réactions dans l’opinion depuis des mois. Celles des premiers concernés d’abord : les taxis avec Uber, les libraires avec Amazon, les livreurs avec Deliveroo et les hôtels avec AirBnB. Chaque jour, de nouveaux acteurs émergent dans les domaines de l’éducation, de la coiffure, du droit, des transports, de la santé, du BTP, des services… Demain, l’État lui-même pourrait peut-être se voir ubérisé !

Une conférence

Grégoire Leclercq tentera de répondre aux multiples questions soulevées par l’ubérisation, en proposant des pistes d’amélioration, afin qu’elle ne soit plus subie, mais réfléchie, décidée, et inclusive, pour tous.

La conférence sera suivie d’une séance de dédicace, en partenariat avec la librairie Les Beaux titres de Levallois.

Rendez-vous le samedi 23 septembre à 15h à la médiathèque Gustave-Eiffel (111 rue Jean-Jaurès- Levallois – 01 47 15 76 43). Entrée libre.


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Le 1er salon grand public de l'économie collaborative et du partage

Share Paris c'est :

  • 3 jours pour vivre et découvrir de nouveaux modes de vie collaboratifs
  • un « Palais de la découverte de l’économie du partage » qui réunit en un seul lieu tous les bons plans, projets, usages, innovations, initiatives et acteurs de l’économie collaborative et du partage.
  • 3 journées grand public les 22,23 et 24 septembre 2017
  • Des conférences et débats dédiés au secteur de l’éducation, aux acteurs territoriaux, aux acteurs de la ville de demain et à l’entreprenariat des jeunes dans le secteur de l’économie collaborative

Précarité ou réel emploi ? La vérité, rien que la vérité sur le monde caché des travailleurs des plateformes

Nous aurons la chance d'animer une conférence débat autour du sujet des travailleurs indépendants.

  • qui sont ces travailleurs indépendants ?
  • combien gagnent-t-ils ?
  • comment sont-ils protégés ?
  • quelles actions sont mises en oeuvre par les plateformes pour les accompagner ?

Avec la participation et l’intervention de :

  • Nicolas BREUIL, Directeur Marketing, Stuart
  • Vincent HUGUET, Fondateur d’Hopwork
  • Sergine DUPUY, Fondatrice,  RedPill SAS, DG BeeBoss et Administrateur de l’Observatoire de l’Ubérisation
  • Florent MALBRANCHE, Fondateur, Brigad
  • Echanges animés par Grégoire LECLERCQ, Co-Fondateur de l’Observatoire de l’Ubérisation et Président de la Fédération des Auto-entrepreneurs

Infos pratiques

  • Adresse : Espace Champerret – 6, rue Jean Oestreicher – 75017 Paris
  • Lieu : Espace de conférences
  • Horaires : 12:00 - 13:00
  • Billets sur http://www.shareparis.com/billetterie/

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Rien ne semble arrêter la croissance de l'économie collaborative ! Dans une nouvelle étude, l'institut britannique Juniper Research prévoit que l'économie du partage va dégager un chiffre d'affaires de 40,2 milliards de dollars en 2022, contre 18,6 milliards de dollars cette année. "L'adhésion aux services de l'économie du partage a considérablement augmenté", observent les auteurs de l'étude.

Selon Juniper Research, le secteur des transports demeurera en tête de l'économie du partage à l'avenir. L'institut constate également que les grands noms de l'économie du partage parviennent à renforcer encore leurs positions au fil du temps. "La part de marché prise par Uber et Lyft atteint aujourd'hui 30% par trajet, ces plateformes parvenant à capitaliser sur leur réseau de chauffeurs", explique Juniper Research.

Même chose pour Airbnb qui reste solidement leader sur le marché de la location d'appartements entre particuliers : le nombre d'annonces de location a augmenté d'un million entre 2015 et 2017, atteignant le cap des 3 millions, et la plateforme américaine devrait totaliser 5,3 millions de locations cette année.

Après les transports et la location de vacances, Juniper Research anticipe la montée en puissance d'un autre secteur de l'économie collaborative : le coworking et la location de bureaux entre entreprises.

"Le partage des espaces de travail via des plateformes comme WeWork et PivotDesk représente le prochain axe de croissance pour l'économie du partage, avec des étages entiers d'immeubles de bureaux équipés et prêts à être partagés", estime Lauren Foye, analyste chez Juniper Research.

Le coworking est promis à un bel avenir

Les grandes manœuvres sont d'ailleurs déjà en marche : en février dernier, Softbank a investi 3 milliards de dollars dans WeWork. Au total, le secteur du partage de bureaux pourrait représenter à lui seul un chiffre d'affaires de 10 milliards de dollars en 2022.

Bien que déjà impressionnantes, les prévisions publiées par Juniper Research sont en dessous de celles avancées par le cabinet de conseil PriceWaterhouseCoopers (PwC). Dans une étude présentée en septembre dernier, PwC estime que le chiffre d'affaires de l'économie collaborative va atteindre 83 milliards d'euros en Europe d'ici 2025, contre 4 milliards l'an dernier.

La différence s'explique par le périmètre et la méthodologie de chaque étude mais, pour les deux cabinets, la tendance de la "sharing economy" est clairement à une croissance forte.

A voir : la synthèse de l'étude


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  • Date de Publication: 24/07/2017
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  • Date de Publication: 15/06/2017
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Le Grand prix 2017 de La finance pour tous est un millésime très « high Tech » ! Bitcoin, Big Data, Uberisation, Blockchain… Les « nouveaux mots de l’économie » sont à honneur pour cette édition. Les gagnants seront récompensés le 15 juin prochain.

Grand prix 2017

Savez-vous expliquer simplement l’économie ? C'est le programme de la troisième édition destiné aux étudiants.

A vos crayons, tablettes, caméras ! Si vous aimez expliquer clairement, faire preuve de pédagogie. Si vous savez utiliser l’infographie, la vidéo pour éclairer les chiffres…

Si vous pensez comme nous qu’il est indispensable de comprendre les bases de l’économie pour exercer son rôle de citoyen, alors…

Participez à notre Grand prix pour tenter de gagner l’une de nos récompenses (1500 €, 1 000 €, un chèque livre de 500 €) et un stage.

Le thème 2017 : « Les nouveaux mots de l'économie »

Parce qu’il est de plus en plus indispensable, face à une économie mondiale complexe, à des marchés financiers souvent virtuels, de mieux connaître les avancées techniques et les nouveaux modes de financement.

Traiter des nouveaux mots de l’économie, c’est se pencher, par exemple, sur l’Uberisation, les BlockChain, les Fintech, le Big data, le Bitcoin, la Silver économie, le crowdfunding, l’économie collaborative, le Brexit…

Des termes souvent complexes… Et c’est justement le challenge à relever ! Soyez pédagogique, amusant et clair.

Près de 30 productions pédagogiques ont été réalisées par quelque 50 étudiantes et étudiants. Et le thème 2017, « les nouveaux mots de l’économie », les a particulièrement motivés.

Des profils très divers d’étudiants

Ecole de commerce, de journalisme, université, BTS… Les candidats viennent d’horizons très divers. La promotion de ce Grand prix a particulièrement été bien relayé par les sites des académies du ministère de l’Education nationale, puisque nous avons reçu 16 œuvres réalisées par des BTS. Et de nombreux étudiants ont choisi de réalisé des productions communes, permettant d’allier les compétences. 

Quatre Grand prix remis le 15 juin

Nouveauté pour cette année, nous avons choisi d’attribuer quatre prix :

  • Le premier prix d’une valeur de 1 500 €
  • Le deuxième prix d’une valeur de 1 000 €
  • Le prix Dunod (un chèque-livre de 500 €)
  • Le prix « coup de pouce » de La finance pour tous, en association avec l’Education nationale, (chèque-cadeau de 250 €)

Le prix « Coup de pouce » traite de l'Uberisation de l'Economie. Il donnera lieu à un échange avec Grégoire LECLERCQ, co-auteur de l’ouvrage « Uberisation, un ennemi qui vous veut du bien ? » (éditions Dunod), cofondateur de l’Observatoire de l'Uberisation et Président de la fédération des autoentrepreneurs.

La cérémonie aura lieu en présence de Christian NOYER et Rémy WEBER, Président du Directoire de La Banque Postale, sponsor du Grand prix,

Le Jeudi 15 juin à 18h00
A l’auditorium de La Banque postale
115 rue de Sèvres – 75006 Paris
Lignes 10 et 13 - métro Duroc


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  • Date de Publication: 05/06/2017
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Dans le cadre d'un atelier collaboratif mis en place à Valence autour des métamorphoses de l'emploi par le numérique, Pascal Terrasse, député fin connaisseur des mondes numériques s'est exprimé sur l'ubérisation pour le compte du Digital Society Forum.

Pascal terrasse est notamment l'auteur du Rapport sur l'économie collaborative.

En synthèse :

  • L'ubérisation de la société ne peut pas être vu simplement que comme le fait de tirer la société vers le bas mais une prise de conscience de l'émergence de nouveaux acteurs économiques.
  • Notre pays doit accompagner cet écosystème. La recherche doit être là.
  • La France et l'Union européenne doivent s'engager et être debout sur ces questions.
  • Les échanges valent mieux que les achats permanents de biens. L'acte de l'échange a plus de sens que celui de l'acquisition. L'usage prime sur la propriété. Avoir un bien rien que pour soi et l'utiliser peu, n'a aucune valeur. C'est une valeur fondamentale pour l'environnement et cela donne du sens à notre économie.

A propos de Digital Society Forum

Plateforme collaborative ouverte, le Digital Society Forum a été initié par Orange afin de donner à chacun des clés de compréhension pour mieux appréhender notre vie numérique. Le Digital Society Forum rassemble sociologues, universitaires et acteurs de la société civile autour de grands thèmes de la vie quotidienne. Cette vision croisée est ensuite partagée lors d'ateliers participatifs publics, en régions et à l'étranger, afin de proposer des pistes d'action à tous et pour tous. Le fonctionnement du Digital Society Forum repose sur une approche collaborative et participative et se traduit par différents événements :

  • Des tables rondes d’experts 
  • Des rencontres et ateliers ouverts à tous 
  • Des événements en ligne (forum de discussion, chat, etc…) 


L'Ubérisation selon Pascal Terrasse par digitalsocietyforum


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A PROPOS

Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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